Question captieuses des pharisiens et des sadducéens (1)
Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles. | |
Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent : Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t'inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes.
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Dis-nous donc ce qu'il t'en semble : est-il permis, ou non, de payer le tribut à César ?
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Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit : Pourquoi me tentez-vous, hypocrites ?
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Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un denier.
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Il leur demanda : De qui sont cette effigie et cette inscription ? | |
De César, lui répondirent-ils. Alors il leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
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Étonnés de ce qu'ils entendaient, ils le quittèrent, et s'en allèrent. | |
Méditation: |
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Leur ayant demandé la monnaie du tribut, il leur prouve que celui-ci était bien évidemment de César, car le denier portait son image.
S’il est de César, il doit lui être rendu ; mais ensuite Il les place dans la présence de Dieu.
Rendaient-ils à Dieu les choses qui lui appartenaient ? Cette réponse magnifique non seulement les étonne, mais elle frappe tellement leur conscience qu’ils s’en vont.
Jésus a posé là un grand principe qui s’applique à chacun de nous tant que nous sommes sous la juridiction d’un César quel qu’il soit.
Nous devons rendre à César tout ce qui lui est dû, mais les choses qui sont de Dieu sont infiniment plus importantes et plus étendues dans leur application que tout ce qui est à César. |
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